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Communiqué de presse

Le Port de Montréal devient « créateur de biodiversité en milieu agricole » grâce à son soutien au programme environnemental ALUS Montérégie

 

Saint-Robert, le 27 août 2020 — À l’occasion de l’expansion de ses activités à Contrecœur, l’Administration portuaire de Montréal (APM) est heureuse de s’associer au programme ALUS Montérégie. Lancé par la Fédération de l’UPA de la Montérégie en 2006, ce programme contribue chaque année à la préservation des écosystèmes et soutient les agricultrices et les agriculteurs dans leurs efforts pour protéger l’environnement. Avec cet engagement, l’APM devient partenaire Or du programme.

 

Un engagement pour une agriculture durable

À travers le partenariat avec ALUS Montérégie, le Port de Montréal est fier de s’engager pour préserver la biodiversité, la qualité de l’eau, de l’air et de l’environnement. Ce partenariat permettra de soutenir les projets de réhabilitation et de valorisation environnementale de plusieurs fermes de la région. Il s’inscrit en tout point dans la vision de développement durable qui guide l’APM dans ses activités depuis l’adoption d’une politique de développement durable en 2010.

Avec l’objectif d’allier développement économique et développement durable, l’APM a multiplié au fil des ans les initiatives et les actions en faveur de la préservation de l’environnement. Parmi celles-ci, l’installation de systèmes d’alimentation électrique pour navires de croisières et navires-hivernants, ainsi qu’un système d’avitaillement au GNL, la plantation de 2000 arbres sur le territoire portuaire et l’installation de séparateurs hydrodynamiques contribuent à diminuer l’impact environnemental des activités portuaires. Grâce à ces nombreuses initiatives, l’APM affiche un bilan positif en matière de développement durable et l’intensité des GES liés à ses activités a diminué de 45 % en 10 ans.

« En s’associant avec ALUS Montérégie, l’APM affirme son adhésion à la mission du programme pour la préservation de la biodiversité et la protection de l’environnement. Guidés par ces valeurs, nous souhaitons développer notre projet de terminal portuaire à Contrecœur dans le respect le plus strict des normes environnementales en vigueur. » — Sophie Roux, vice-présidente des affaires publiques de l’APM.

« Je tiens à remercier l’APM pour son engagement envers ALUS Montérégie, l’unique programme au Québec à offrir une rétribution financière aux agricultrices et agriculteurs pour soutenir leurs efforts environnementaux. Cette contribution sur cinq ans permettra de lutter activement contre les changements climatiques. » — Christian St-Jacques, président de la Fédération de l’UPA de la Montérégie.

« Nous tenons à féliciter ALUS Montérégie d’avoir obtenu ce nouveau financement et à remercier le Port de Montréal pour son investissement dans ALUS au Québec. Grâce à cette contribution, une véritable action environnementale se déroulera sur le terrain. Ce sont les agriculteurs qui peuvent apporter des solutions efficaces aux plus grands problèmes environnementaux de notre époque. Et les services écosystémiques qu’ils produisent grâce à ALUS — de l’air plus propre, de l’eau plus propre, une plus grande biodiversité — profitent non seulement aux agriculteurs, mais aussi à nos communautés, et à nous tous. » — Bryan Gilvesy, directeur général, ALUS Canada 

L’argent versé dans le cadre de ce partenariat servira à financer diverses initiatives locales sur des terrains agricoles telles que la plantation de haies, le reboisement de friches agricoles, la végétalisation de rives et la mise en valeur d’écosystèmes.

 

À propos d’ALUS Montérégie

La mission d’ALUS est de valoriser les aménagements permanents qui favorisent la protection de l’environnement en milieu agricole. Le programme vise à soutenir les actions permettant la protection des berges, des sols et des milieux humides en améliorant la qualité de l’eau, des écosystèmes aquatiques et la mise en valeur responsable des berges et des cours d’eau.

À propos de l’expansion du Port de Montréal à Contrecœur

Située en zone industrielle, la réserve foncière de Contrecœur, acquise par l’Administration portuaire de Montréal il y a plus de 30 ans, a fait l’objet d’une planification rigoureuse et concertée afin de soutenir le développement de la chaîne logistique du Québec et de l’est du Canada. D’ici 2024, avec l’appui de la Banque de l’infrastructure du Canada et de partenaires privés, le Port de Montréal entend y aménager un nouveau terminal à conteneurs à la fine pointe de la technologie en prévision de la manutention de 1,15 million de conteneurs (EVP), à terme. Avantageusement située au cœur du principal bassin de consommateurs, d’importateurs et d’exportateurs du Québec et de l’est du Canada, proche des grands axes ferroviaires et autoroutiers, l’expansion du Port de Montréal à Contrecœur permettra de consolider les forces d’ici pour répondre efficacement aux besoins de demain. Ce projet renforcera, au cœur de la vallée du Saint-Laurent, notre ensemble logistique d’envergure mondiale. 

À propos du Port de Montréal

Exploité par l’Administration portuaire de Montréal (APM), le Port de Montréal est le 2e plus important port au Canada et un centre de transbordement diversifié qui traite tous les types de marchandises : conteneurisées et non conteneurisées, vrac liquide et vrac solide. Seul port à conteneurs au Québec, il est un port de destination desservi par les plus grandes lignes maritimes au monde. Il est également une plaque tournante intermodale, dont l’offre de service est unique en Amérique du Nord, qui possède son propre réseau de chemin de fer directement sur les quais, relié aux deux réseaux ferroviaires pancanadiens. L’APM exploite aussi un terminal de croisières et un centre d’interprétation portuaire.

L’APM intègre les volets économique, social et environnemental dans ses démarches d’entreprise. Cet engagement est encadré dans une politique de développement durable, dont les principes directeurs visent l’implication, la coopération et la transparence. L’activité portuaire soutient 19 000 emplois et génère des retombées économiques de l’ordre de 2,6 milliards de dollars par année.

 

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